CHAPITRE 5
Le mode de fonctionnement par amour, complémentaire à celui de l’église dans les démocraties
5 – 3 La valorisation des spécificités individuelles et collectives
Nous nous faisons la guerre et nous nous divisons, à cause de nos spécificités individuelles vers lesquelles le Saint-Esprit nous conduit, sans tenir compte des spécificités des autres, qui peuvent également être conduites par le Saint-Esprit de façon complémentaire. C’est ainsi que nos démocraties deviennent instables, là où le Saint-Esprit en est pourtant à l’origine et qu’il veut les rendre fortes. S’il en est ainsi c’est parce que depuis des siècles, il est une chose reconnue par chacun, que le baptême du Saint-Esprit est donné uniquement à celui qui veut servir Dieu dans l’église, et ce fut sans doute une absolue vérité durant les siècles précédant la reconstruction d’Israël.
Lorsque l’église s’attache encore aujourd’hui à ces règles anciennes, elle est contrainte de regarder la société qui reste attachée à ses propres valeurs, comme étant tous des rebelles à Dieu, ne pouvant donc absolument pas recevoir ce baptême. C’est à cause de cette condamnation que le Saint-Esprit ne peut montrer sa complémentarité à « l’église », en rapport à « l’Église », à la façon dont Dieu la voit dans son ensemble, à l’image du couple homme/femme qui forment à eux deux, un seul devant Dieu.
Cela ne veut surtout pas dire que toute part de la société hors église est baptisée du Saint-Esprit et que tous veulent faire la volonté divine, ce qui serait encore plus faux, mais que Dieu veut guider chacun à se laisser conduire par le Saint-Esprit dans sa recherche d’amour, et dans la vocation qu’il place individuellement sur tout humain. Il veut en cela ouvrir notre entendement à ce parfait Amour de nous Aimer les uns les autres, comme il nous aime, en ouvrant à Jésus le droit à la réécriture des programmations dans le cerveau de tout serviteur de Dieu dans l’Église. La motivation d’amour devenant alors aussi importante que les bases permettant cette réécriture, les spécificités de chacun, entre l’homme et la femme, ou entre l’église et la société, deviennent tout aussi indispensables l’une que l’autre pour accéder à l’objectif divin final, autrement que par un consensus humain, car accompli par la valorisation individuelle du Saint-Esprit en chacun.
Dieu veut aller plus loin que ces simples consensus pour générer une société qui ne pourrait jamais répondre de cœur à sa « nature d’Amour », car il veut apporter cette perfection individuellement à chacun, afin qu’un jour l’ensemble de la société puisse être représentative de sa parfaite image.
C’est pourquoi, des gens sincères et baptisés du Saint-Esprit, peuvent être déportés de l’église et rester dans un appel de Dieu complémentaire à celui de l’église, qu’est l’Église au travers des démocraties.
C’est l’exemple que l’Eternel Dieu donna au travers des déportés de Jérusalem à Babylone, que furent Schadrac, Méschac, et Abed-Nego, dont la fournaise de Nebucadnetsar brula leurs liens et leur permit d’accéder à l’ange libérateur, sans qu’ils ne sentent eux-mêmes le brûlé Daniel 3.
Ce n’est pas parce que ceux déportés de l’église sont meilleurs que ceux qui y sont maintenus, qu’il en est ainsi, comme nous l’avons déjà souligné, au niveau de l’adaptabilité. C’est parce que leur quotient émotionnel est contraint d’apporter une correction beaucoup plus grande à la programmation nécessaire à toute action dans leur cerveau, pour rendre celle-ci approchante de l’Amour divin, qu’ils sont plus aptes à en percevoir l’effet. Ce quotient émotionnel étant alors plus grand devient moins précis, mais aussi plus perceptible à celui qui y est contraint et c’est pour polluer le moins possible le très difficile témoignage de la femme et de l’église, que la personne appelée à fonctionner par amour, se retrouve généralement dans la société attachée aux valeurs de cette église, mais pas à l’église elle-même. Celui qui avait alors reconnu la parole de Dieu comme justice, peut ainsi prendre plus facilement conscience du besoin d’une reprogrammation et faire appel à Jésus au bon moment, même si souvent la personne elle-même sera parfaitement inconsciente de tout ce processus.
Ce bon moment est fondamental, car beaucoup le confonde avec la prière préalable à toute situation conflictuelle ou non, qui consiste à prier Jésus de les conduire vers la bonne action, ou réaction. S’ils obtiennent alors une action qui leur convient, et qui convient éventuellement à Dieu, compte tenu de leur situation, ce n’est pas par amour qu’elle est produite, mais par domination de l’ancienne programmation, à laquelle il est éventuellement ajouté une part d’amour. C’est là le contraire de ce que Jésus demande pour que l’intéressé lui ouvre la porte à la réécriture de l’action programmée en lui, car Jésus ne nous demande pas de « savoir », mais de lui faire confiance à dire simplement non à l’action programmée, tout en faisant appel à lui au bon moment de la tentation MAXIMUM au péché, dans la même humilité que l’enfant qui ne sait pas quelle attitude adopter.
Ce maximum est justement là où seule la volonté de la personne à résister à ce que Satan a construit en elle, est fondamentale, car beaucoup de ceux qui ont prié préalablement capitulent avant ce maximum, et considèrent que c’est Dieu qui les a conduits à réagir dans un registre parfois contraire au témoignage de Christ, plutôt que d’aller au bout, du bout, du bout de ce qui leur est possible de supporter. S’ils capitulent alors au péché, ou à la condamnation, voire à toute autre forme de capitulation, ils considèrent avoir fait ce qu’il fallait faire envers la tentation au péché, qui incombe alors à ceux qui les ont entrainés au péché. Soit il n’ont pas fait appel à Jésus au cours de cette tentation, l’ayant demandé préalablement, soit ils l’on fait avant les extrémités qui leur étaient possibles de respecter eux-mêmes, pour leur éviter cet entier refus au péché, par faiblesse envers le péché, en tentant de laisser faire par Dieu la part qui leur revient. Celui qui agit ainsi refuse de se faire violence contre la mauvaise spiritualité en lui et agit comme si sa prière préalable avait donné son autorisation à Dieu de dépasser son propre libre-arbitre, dans ce qu’il serait pourtant capable de faire lui-même, s’il se faisait violence dans une volonté farouche à ne pas laisser un seul iota de sa vie à Satan.
C’est pourquoi il est dit que ce sont les violents qui s’emparent du royaume des cieux, alors que cette violence est souvent interprétée à l’opposé, envers les autres. C’est pourtant cette violence que Jésus nous demande, pour lui ouvrir la porte à la réécriture de ces centres émotionnels programmés en nous et c’est cela qui change tout.
Comme nous en avons parler dans le chapitre précédant au sujet de l’enfant ayant reçu le baptême du Saint-Esprit durant l’enfance, le dernier centre émotionnel de son cerveau n’ayant pas encore été programmés définitivement, l’influence du Saint-Esprit n’intervient que sur l’ensemble des données correctrices de la programmation de base et non sur la nature de celle-ci. Si au nom de Jésus, l’adulte refuse d’agir selon la programmation déjà effectuée et fait appel à Jésus, reconnaissant en cela qu’il ne connait pas la bonne résultante, c’est Jésus en lui qui place la programmation différente de celle qu’il utilisait jusqu’alors pour produire une action, et son cerveau peu alors en tenir compte comme d’une meilleure programmation. C’est parce que son libre arbitre a pris autorité, au nom de Jésus, sur la « nature » de la programmation effectuée sous la tutelle de Satan, que Jésus possède alors cette autorité, car c’est à nous d’ouvrir les droits sur nous à cette réécriture, à celui qui les a déjà acquis pour l’ensemble de l’humanité.
C’est là toute la différence et c’est pourquoi nous devons tous un jour apprendre à redevenir des petits enfants qui ne savent pas, même s’ils ont parfaitement apprit.
Apprendre est indispensable, mais entrer dans la véritable sainteté divine, c’est entrer dans l’humilité de savoir qu’on ne sait pas et que lui seul peut nous faire découvrir.
Cela nécessitera souvent une influence notable de l’entourage de l’intéressé, mais si la personne reste sincère et veut rester vraie, ce sera cependant le soutient de Christ à la maintenir dans son mode de fonctionnement nouveau, sans retourner au mode par domination, qui lui permettra d’accéder au réel examen de conscience, par son « dialogue » avec le Saint-Esprit, comme nous l’avons décrit dans le chapitre précédent. A partir de cet examen de conscience, à chaque dérapage vers l’erreur initiale, le sujet sera progressivement interpellé par le Saint-Esprit en lui, s’il lui reste attentif, jusqu’à ouvrir au bon moment l’opportunité à Jésus d’une réécriture de la programmation ancienne, parce que l’intéressé a fait lui-même toute sa part, Dieu fait alors ce qui est inaccessible à l’humain.
C’est la très bonne dimension de l’emploi de son quotient émotionnel, dans laquelle l’église est employé par le Saint-Esprit à produire la bonne valeur de référence selon la parole de Dieu, qui lui voile cette nécessité de faire appel à Jésus dans ce qui lui parait évident, ou qu’elle a appris à devoir maîtriser, voire même à éviter, en se privant de l’abondance de vie que Jésus voudrait donner. Si la mise en pratique enseignée par l’église à ses sujets, est donc le juste moyen selon Dieu de rester centré sur la parole de Dieu, cela deviendrait une hypocrisie pour ceux appelés à fonctionner par amour. Ce ne serait plus en effet, leur cerveau qui ferait naturellement la correction utile à produire la bonne action, depuis leur quotient émotionnel, mais eux-mêmes en imposant cette correction à leur cerveau, comme une vérité. C’est ce qui en conduit un grand nombre à la religiosité hypocrite, et non au respect de la parole de Dieu, bien que celle-ci soit alors utilisée pour justifier toute forme de mauvais comportement, comme c’est le cas du pauvre Vladimir Poutine, et assurément ceux qui se croient les plus rusés de par le monde.
Le royaume des cieux est de nature divine, ce qui ne correspond pas à prendre simplement parti pour Dieu. Il s’agit là d’un point de basculement fondamental du respect de la parole de Dieu, car celle-ci ne peut porter du bon fruit que dans la mesure de vérité individuelle de la personne à vivre cette vérité divine. Elle ne peut être une forme d’auto conviction que la personne s’impose à cause des pressions qu’elle subit et qu’elle s’oblige à respecter avec violence, quitte à devoir se séparer de la vie que Dieu voudrait lui donner. Celui qui agit ainsi impose alors aux autres le fait de devoir donner raison à ce qu’ils ne croient pas nécessairement, considérant toutefois que la parole de Dieu produira sa vérité dans ceux à qui elle est imposée. Si cela est en partie vrai dans le système par domination, c’est ce que l’Ancien Testament apportait, car cette imposition allait être meilleure que l’anarchie, ce qui n’est surtout plus le cas en Jésus-Christ, en particulier dans les temps dans lesquels nous sommes maintenant. Dans leur sincérité à servir Dieu, les gens se font sinon violence à s’imposer ce à quoi ils ne croient pas réellement de la parole de Dieu, dans la violence des préjugés qu’ils croient bon pour servir Dieu, là où Dieu voudrait qu’ils dirige cette violence contre ce que Satan a construit de faux en eux, dont nous sommes tous victimes. Ils luttent alors la chair et le sang et tôt ou tard, ils sont amenés eux-mêmes à dominer sur les autres, à la façon dont Satan fut établi par Dieu dans sa fonction répressive sur les préhumains, que nous appelons ici homo sapiens, en raison de leur manque d’accès à la conscience. Certains vont alors jusqu’à prendre cette autorité au nom de Jésus sur les humains eux-mêmes, comme si Jésus était un remède miracle, alors que lui ne peut en aucun cas intervenir hors du libre arbitre de chacun, contrairement à Satan qui fut mis en place pour réprimander ces préhumains.
Dans une société démocratique toute personne désirant faire la volonté divine peut être utilisé par Dieu et c’est ce que cette part de société ne croit pas ressentir du Saint-Esprit, qui la maintient généralement dans cette recherche de l’amour, parce qu’elle en possède l’attirance, mais qu’elle ne sait pas différencier son influence de ses autres émotions. Chacun interprète alors cette attirance dans des voies autres que celle de Dieu, mais l’imposent parfois comme une absolue vérité venant de Dieu lui-même. Parmi ces démocraties, beaucoup ne ressentent pas le Saint-Esprit depuis leur « cœur », mais seulement depuis leurs analysent qui permettent de ne pas fermer la porte à l’influence du Saint-Esprit ressentie extérieurement, ce qui explique les multiples tâtonnements d’amour de l’ensemble de la société, que cet amour soit seulement humaniste ou à la Gloire de Dieu. C’est aussi en cela que ces errances ouvrent des droits répressifs à Satan, alors qu’elles pourraient être grandement évitées si chacun était demandeur à en percevoir l’influence sur ses émotions, par le baptême dans le Saint-Esprit. Si ce baptême est tout aussi accessible à celui fonctionnant par amour, que celui fonctionnant par domination de son système émotionnel, la priorité est cependant de vouloir faire la volonté divine, dans l’engagement d’une bonne conscience devant Dieu et non de justifier son propre amour. Si Dieu ne le donne alors pas à la grande majorité de ceux appelés à fonctionner par « amour », c’est que la volonté de la personne doit être dirigée à respecter elle-même la parole de Dieu en toute vérité et accepter de passer par la phase d’apprentissage de la parole de Dieu, correspondant à celle de l’église, pour vouloir en respecter les valeurs, quel que soit l’humilité qui lui en coûte.
C’est la très grande différence entre la logique sous tutelle et la Personne du Saint-Esprit qui justifie cette situation, car si la logique sous tutelle est là pour donner à Satan la capacité de nous maintenir sur le respect de notre génétique, la Personne du Saint-Esprit dans le « cœur » est là pour apporter l’Amour divin et le respect de la loi, à celui qui est désireux de ne pas grillé les étapes. C’est aussi pourquoi chacun doit humblement entrer dans la première phase que nous avons vue dans le chapitre 3, tout en restant ouvert à la seconde, si c’est Dieu qui l’y conduit.
Tant que tout humain ne nait pas, déjà doté du Saint-Esprit dès le sein de sa mère, Dieu ne peut pas se servir de la même personne, pour gérer les deux modes de fonctionnement en même temps, mais seulement par couple, chacun à son tour, car ce serait prendre le risque de perdre à jamais les bonnes valeurs de son témoignage, indispensables à la bonne structure porteuse de son Amour. C’est ainsi que dans une société démocratique, l’église appelée à fonctionner sur un mode par domination de son système émotionnel est tout aussi indispensable au reste de la société recherchant l’Amour divin, sur les valeurs de celle-ci. Si toutes les imprécisions que cela génère, sont inévitables, c’est que personne sur terre, ne possède la réelle référence émotionnelle de cet Amour impartial à sa naissance.
Les plus extrémistes sont pourtant convaincus d’en posséder la réelle valeur initialement, du fait qu’ils ne comparent l’information du Saint-Esprit qu’avec leurs capacités d’action déjà programmées, à laquelle ils accordent une valeur de nature divine en raison de leur désir de servir Dieu, parfois depuis leur plus jeune âge. C’est aussi là où ils franchissent le pas de la condamnation en considérant que ce n’est pas le cas des autres. Ce que ceux-là ignorent, c’est qu’ils ne sont généralement eux-mêmes que dans une prise de parti pour Dieu et non dans la recherche de son obéissance, qui leur ouvrirait la compassion pour ceux qui se perdent. L’amour égocentrique, encore présent dans leurs programmations d’actions, peut les conduire dans un protectionnisme accordé à eux-mêmes et toute autre personne envers laquelle ils se sentent la responsabilité de la défendre, que ce soit leur progéniture, l’ensemble de leur descendance, de leur congrégation, voire Dieu Lui-même.
C’est pourquoi nous avons dit déjà plusieurs fois que l’important est de travailler « avec » Dieu et non « pour » Dieu, car Dieu ne nous demande pas de prendre parti pour Lui, mais de faire sa volonté. Celui qui entre dans un simple parti-pris pour Dieu, ne regarde plus à l’obéissance à Dieu, mais à la cause qu’il défend, comme si Dieu n’était pas capable de se défendre lui-même. C’est là la plus grande faiblesse de celui qui travaille « pour » Dieu, car il se croit indispensable à Dieu, ce que Satan saura utiliser au jour de sa projection sur terre, pour le séduire dans son erreur, afin de l’entrainer dans la perdition. Il tentera s’il lui est possible, d’entrainer même des élus et c’est pourquoi nous devons tous restés conscients de nos faiblesses, sans vouloir dominer le monde par la force, car celle-là ne vient pas de Dieu.
Autant l’amour seulement humaniste conduit par la nature égocentrique est un danger perfide, faute d’être apporté par le Saint-Esprit, autant la recherche de la puissance, chrétienne ou autre, du respect des règles divines, par domination de l’humain, conduit à ne plus savoir faire la différence entre l’objectif divin et celui de Satan. L’objectif de Dieu est d’apporter à chacun la capacité du respect de sa parole, par Amour, et celui de Satan est d’utiliser la parole de Dieu pour mieux dominer et exploiter le monde, quel qu’en soit le prix à payer par l’humain, auquel il a été retiré toute valeur personnelle. Cela conduit à terme à adopter au nom de Jésus les méthodes répressives de Satan sur les autres, en raison de leur non-respect de la parole de Dieu, tout en agissant soi-même dans la condamnation que Jésus a proscrite et qui fait partie des péchés de l’humain pour lesquelles il donna sa vie à la Croix. Chaque chrétien entré dans cette erreur, bénéficie donc du pardon de ce péché, s’il s’en repent et ne pèche plus, mais c’est cependant à lui de vouloir se séparer du mode de fonctionnement de Satan sur l’humain, sans pour autant se séparer de son mode de fonctionnement par domination de son système émotionnel, tant que Dieu ne le lui demande pas.
Le réel danger est donc de s’obstiner à faire régner la loi divine sans autre forme de référence, car au jour de la projection de Satan sur terre, lui ne s’embarrassera pas à rechercher l’Amour divin, auquel il ne peut accéder. S’il en est ainsi c’est parce qu’il fut placé par Dieu pour maintenir les seuls instincts de l’homo sapiens sur les valeurs de sa génétique, ce qui le rend maître dans le respect de la loi de façon autoritaire et répressive, sans lui ouvrir le droit au Saint-Esprit, contrairement à Jésus qui acquit le droit d’en doter notre « cœur ». C’est aussi pourquoi le ou les humains qui seront porteurs de Satan projeté sur terre, maîtriseront mieux que quiconque leur quotient émotionnel. Ce ne sera certes pas pour apporter l’Amour divin, mais pour sublimer l’art de la dissimilation à se faire passer pour le Messie à venir. La meilleure chose qui soit pour l’humanité est que l’église soit conduite du Saint-Esprit pour apporter la bonne domination de son système émotionnel, afin d’apporter son soutien sans condamnation de la société dans sa recherche de gestion par Amour, apporté par le même Saint-Esprit. Si le meilleur est dans cette complémentarité entre le juste travail de l’église, et celui de la société, toutes deux revêtues du Saint-Esprit, le pire se loge donc dans son contraire. Celui-ci devient alors dans la parfaite maîtrise de ce même système émotionnel, non plus pour amener le parfait Amour, mais pour assurer la parfaite dissimulation du mensonge dans l’emploi de la parole de Dieu par cette société.